Il fait bon y travailler : l’entreprise lyonnaise Serfim TIC reçoit la certification « Great Place to Work »
Elle ne sont pas si nombreuses que cela, les entreprises labellisées « Great Place to Work », certifiant qu’il y fait bon travailler.
Or, la société lyonnaise Serfim TIC, (Technologies Information et Communication) filiale de communication numérique du groupe Serfim, créé par Guy Mathiolon, annonce qu’elle vient d’obtenir sa certification Great Place To Work.
Une entreprise de 250 salariés et de 55 millions d’euros de chiffre d’affaires dirigée par Didier Déal qui veut se distinguer par « la qualité des environnements et des conditions de travail offertes à ses collaborateurs. » Et le fait savoir.
« Placer l’humain en tête de nos actions, c’est tout l’enjeu. Nous avons à cœur que nos collaborateurs ne se sentent pas comme des numéros et que chacun se sentent bien au quotidien » assure Aurélie Fallourd, Responsable QSE-RSE (Qualité, Sécurité et Environnement et Responsabilité Sociétale des Entreprises), chez Serfim TIC.
La certification Great Place to Work est valable un an : elle est remise dès la clôture du projet. Le score « Trust Index » compte pour les deux tiers de l’évaluation et le score « Culture Audit » pour un tiers.
Le « Trust Index » : un questionnaire anonyme est adressé aux collaborateurs. Il comprend 64 questions fermées, 2 questions ouvertes et 7 questions démographiques. C’est donc l’opinion des collaborateurs sur leur propre entreprise qui joue le rôle le plus important dans cette certification.
Le « Culture Audit » : il s’agit d’un dossier complété par l’entreprise, qui doit y recenser l’ensemble ses pratiques managériales en lien avec neuf leviers d’action. Ce dossier est évalué par une équipe dédiée chez Great Place To Work, en fonction d’une méthodologie internationale prenant en compte la variété, l’originalité, l’ « inclusivité », la générosité et l’intégration des pratiques au sein de l’entreprise.
La direction de Serfim TIC met en avant le fait que « chaque année, le questionnaire Karasek est soumis aux salariés afin d’évaluer la qualité de vie et la charge mentale au travail. Les résultats sont ensuite étudiés, analysés et pris en compte par la Direction et le CSE afin d’améliorer au quotidien les pratiques managériales. »
Et d’y ajouter parmi les éléments qui ont joué pour cette certification, des aménagements visant à développer la convivialité : « Des espaces détente sont disponibles dans toutes les agences de l’entreprise, les collaborateurs s’y retrouvent pour échanger de façon informelle sur des sujets professionnels ou personnels. Véritables lieux d’échange et de cohésion, ces espaces dotés d’écrans d’information diffusent en permanence des actualités internes, elles contribuent à informer les collaborateurs sur la vie de l’entreprise et renforcent le sentiment d’appartenance. »
Le palmarès 2019 « Great Place to Work »
Pour rappel, le palmarès 2019 « Great Place To Work » réunissait l’année dernière 12 entreprises d’Auvergne-Rhône-Alpes pour un total de 97 lauréates au plan national :
Dans la catégorie 500 à 5.000 salariés
Valrhona (Tain-l’Hermitage) et Britvic France (Crolles)
Dans la catégorie 50 à 500 salariés
L’éditeur lyonnais de logiciels Esker ; Stryker France (Pusignan) ; ABGI France, entreprise de conseil située à Lyon ; C’pro Auvergne-Rhône-Alpes (services aux entreprises) situé à Valence ; Epsa Tax & Innovation, spécialisée dans le conseil pour les affaires ; Bjorg Bonneterre et Compagnie (Saint-Genis-Laval) et Appolo SSC (services numériques).
Dans la catégorie moins de 50 salariés
Sagarmantha, entreprise lyonnaise de communication interne et évènementielle, qui était arrivée en 2éme position du classement national ; Geode Conseil, cabinet d’expertise comptable, et Akuiteo, spécialisée dans l’édition de logiciels.