La charpente en bois, une structure d’abri polyvalente pour les professionnels
Polyvalence. Voilà qui résume parfaitement les différentes déclinaisons de structures bois professionnelles. Des structures qui prennent la forme de belles, vastes et massives charpentes en bois, que FRANCE ABRIS décline dans des formats nombreux et exhaustifs. Leur base est simple : il s’agit de solides poteaux, généralement en bois Douglas, qui soutiennent une charpente complète que le professionnel n’a plus qu’à couvrir. Une ossature d’abri, en somme, qui se module à l’envie. Il est ainsi possible d’installer sur son exploitation agricole, par exemple, une charpente couvrant une quinzaine de mètres carrés… Mais l’on peut aussi envisager une structure rassemblant de multiples modules pour des emprises au sol allant jusqu’à 80 ou 100 m², voire plus.
Un hangar pour le secteur agricole, un carport multiple pour un entrepreneur…
L’objectif ? Abriter, couvrir, protéger un espace, une zone dédiée à une activité précise. Un agriculteur va ainsi créer un véritable hangar bois sur la base d’une charpente, qu’il va couvrir d’une tôle galvanisée, afin d’abriter des mécaniques variées, des remorques, des tracteurs, des bennes ou des semoirs… Marier stationnement et stockage sous une structure protectrice, un projet plus qu’utile lorsqu’on est exposé aux intempéries !
Mais un entrepreneur pourrait également profiter des abris en kit pour aménager un carport multiple à destination de son parc de véhicules utilitaires. En prenant un module de charpente, dupliqué un certain nombre de fois, l’on obtient une structure à même d’abriter 10 ou 15 véhicules… Et pourquoi pas plus ? Là encore, abriter étant la fonction première de l’abri, l’on peut imaginer possible de stocker du matériel en transit ou des palettes, en plus de faire du stationnement.
Sur les chantiers, la charpente bois a également son mot à dire. Un client qui réclame pour sa maison une cuisine d’été, une poolhouse, un auvent, un carport ? Une structure bois adaptée aux besoins du particulier peut remplir ce rôle. Et il n’est pas rare, d’ailleurs, de voir ces abris montés dans les jardins et couverts d’un harmonieux toit de tuiles. Adossés à la maison ou autoportants, il font, là encore, preuve de polyvalence !
Aider le professionnel à trouver une charpente bois adaptée à son contexte, à son environnement
Comment se déclinent les différents modèles d’ossatures ? De quelles façons se distinguent-elles ? Par la charpente elle-même, évidemment ! Cette charpente peut effectivement prendre appui contre un mur ou une façade, de manière à créer et abriter comme le ferait l’extension d’un bâtiment. Ou être autoportante, montée sur des poteaux dont le nombre varie selon les dimensions de l’abri. Deux approches distinctes, adaptées aux contextes de nombreux professionnels.
Mais la toiture aussi offre de nombreuses variations. Car, entre un toit double pente et un toit plat, la différence s’avère notable – et certainement pas anodine. D’un point de vue esthétique, bien entendu, les deux pans jouant d’une silhouette un peu plus traditionnelle quand la charpente plate affirme son modernisme. D’un point de vue pratique également, avec une hauteur de faîtage dans le premier cas qui accroît un peu plus le volume de stockage et peut permettre le stationnement de certains engins.
A ce titre, la hauteur de passage, comme la hauteur utile, est à définir pour dénicher la meilleure charpente pro. Tout du moins celle qui convient le plus à une situation donnée ! Certains modèles maximisent cette hauteur de passage ; d’autres exploitent une asymétrie dans la charpente pour proposer deux hauteurs de passage différentes. Là encore, un unique objectif transpire : que les nombreuses ossatures répondent à un champ d’utilisation aussi vaste que possible.
Les matériaux : une structure en bois… mais quelle couverture ?
Pourquoi le bois Douglas ? La question paraît légitime, le professionnel pouvant se laisser tenter très justement par des hangars métalliques ou de solides structures en acier galvanisé. Il se trouve que le bois se module avec une grande efficacité… Et qu’il est plus aisé de clore un côté d’une ossature bois pour en faire un abri semi-fermé, qu’il ne le serait d’une charpente métallique. Les adaptations se font très naturellement et profitent du bon comportement thermique du Douglas. Ce dernier étant, en outre, une essence dont le duramen s’avère naturellement résistant à l’humidité, prévenant ainsi la prolifération des champignons. De quoi maximiser la durée de vie de l’abri !
Pour ce qui est de la couverture, le choix laissé à l’entrepreneur, à l’éleveur, à l’agriculteur, à l’artisan leur permet de garder la main sur leur budget. La toiture doit-elle préserver l’esthétique de l’environnement immédiat pour des raisons d’image et de communication ? N’a-t-elle qu’un rôle fonctionnel, poussant à chercher le meilleur rapport qualité/prix ? Sera-t-elle confrontée à des conditions climatiques difficiles ? En fonction des réponses apportées à ces questions, tuiles, bac acier, shingle, PVC, tôles en tout genre… Tous auront des arguments à faire valoir.
Une grande polyvalence… pour une grande liberté !