Sur huit étages et 10 000 m2 de la tour To-Lyon, le plus grand espace de coworking de la Métropole ouvrira ses portes le 15 juin
Un nouveau site qui, ouvrant ses portes le 15 juin prochain, a pour nom « Spaces Part-Dieu » et se caractérise par « de grands espaces très design », selon le directeur du lieu, Walid Kichenin.
Mille cinq-cent postes de travail
Ce futur espace de coworking va se déployer sur pas moins de 10 000 m2 et huit étages. Ce serait même le deuxième plus grand de France après celui de La Défense en Ile-de-France, également géré par le groupe IWG. En effet, cet espace de coworking est susceptible d’accueillir pas moins de 1 500 postes de travail !
Deux entrées permettront d’accéder à ce nouvel équipement, l’une dédiée spécifiquement au nouveau coworking, directement sur le boulevard Vivier-Merle, mais aussi celle qui est commune à tous les nombreux salariés de la tour.
Les 10 000 m2 de superficie offriront pas moins de deux cents bureaux fermés.
IWG a tout vu en grand dans ce méga-coworking puisqu’on trouve également sur ce site, 500 m2 de salles évènementielles, mais encore un amphithéâtre de 60 places, ainsi que 12 salles de réunion.
Reste que l’on peut s’interroger sur une telle création à l’heure où le coworking, du fait notamment du télétravail, semble avoir moins le vent en poupe. Ainsi, le géant américain WeWork a-t-il déposé le bilan en fin d’année dernière sur fond de ralentissement de son marché.
« Des besoins toujours très importants »
Manifestement, une tendance qui ne semble pas concerner le leader mondial des bureaux flexibles, IWG.
C’est ce que confirme Walig Kichenin, directeur du nouvel «Spaces Part-Dieu » lyonnais qui estime que son groupe a su prendre le bon virage à la sortie du Covid et en tire actuellement profit.
IWG est ainsi fortement présent à Lyon car, outre les 8 étages de la tour To-Lyon qui s’annoncent, « nous comptons actuellement sept autres espaces de coworking à Lyon sous nos quatre marques différentes, un chiffre qui pourrait doubler à terme », assure-t-il.
Pour lui, aucun doute, « les besoins en coworking sont toujours présents et restent très importants ! »
IWG entend le prouver. A suivre…