Morgane Masson :
Alors, Légi Avocat est un cabinet en droit des affaires qui existe depuis près de 40 ans à Lyon. Nous sommes situés à Vez et nous couvrons un large domaine du droit des affaires. Cela va du conseil aux entrepreneurs en droit des sociétés – donc tout ce qui touche aux opérations de restructuration, création, etc. – au contentieux commercial, à la fiscalité, que ce soit la fiscalité personnelle des dirigeants ou celle des sociétés, ainsi qu’au droit social du côté des employeurs. Nous proposons un conseil à 360° pour les chefs d’entreprise.
Jean-François Pibre :
Avec 40 ans d’expérience, comme on l’a compris, votre présence ici, aujourd’hui au Palais de la Bourse, semble assez logique, non ?
Morgane Masson :
Oui, c’est tout à fait logique. Nous avons vraiment tenu à être partenaires de ce nouveau salon car il a beaucoup de sens pour nous. Tout ce qui encourage les réseaux d’entrepreneurs est un bon vivier, notamment pour favoriser l’entraide entre eux, donner de bons conseils, partager un réseau commun. Nous pensons que c’est une très bonne initiative, que nous soutenons, et c’est pour cela que nous sommes ravis d’être présents.
Jean-François Pibre :
La journée touche à sa fin, on ne va pas se mentir comme on dit. Quel genre d’échanges avez-vous eus depuis ce matin ? Quelles questions vous ont été posées par ces chefs d’entreprise, ces réseaux ? Qu’est-ce qu’ils vous ont demandé, en gros ?
Morgane Masson :
Ce sont des échanges très instructifs et constructifs. Nous avons pu rencontrer beaucoup de monde, c’était très intéressant. Les questions sont assez ciblées : quel type d’activité ? Comment peut-on se soutenir mutuellement ? Comment envisager un partenariat pour éventuellement intervenir au sein des réseaux d’entrepreneurs ? Nous avons aussi évoqué la possibilité de proposer des formations, par exemple sur la loi de finances à venir. Ce sont des mesures concrètes et des explications pour aider les entrepreneurs dans leur quotidien.
Jean-François Pibre :
La loi de finances arrive à grands pas et finira bien par être votée. Cela va évidemment susciter de nouvelles interrogations, et donc de nouvelles réponses de votre part, non ?
Morgane Masson :
Exactement ! Nous sommes là pour essayer d’apporter des réponses juridiques. Pour le moment, ce ne sont que des suppositions, mais nous espérons bien pouvoir offrir un conseil plus avisé dès que cela sera un peu plus concret.
Jean-François Pibre :
On attend donc que l’Assemblée nationale statue, comme on dit. Merci beaucoup, Morgane.
Morgane Masson :
Merci à vous !
Jean-François Pibre :
Merci de nous avoir suivis. Ce n’est pas terminé, le salon continue, et on se retrouve dans quelques minutes avec encore quelques invités ici au Palais de la Bourse.