CESI : former pour la promotion sociale
Le Centre d’Etudes Supérieures Industrielles (CESI) établissement paritaire spécialiste de la promotion sociale, développe de nombreuses formations, par alternance ou en formation continue, autour de la qualité, de la sécurité, de l’environnement.
Le groupe CESI, 25 centres dont deux en Rhône Alpes, 2 000 titres délivrés chaque année stagiaires pour le sud est, est spécialisé dans la formation continue au service de la promotion sociale surtout dans les entreprises industrielles. Il possède une expérience pour prendre en charge les besoins des PME qui souhaitent faire évoluer des salariés ou dont les salariés souhaitent évoluer.
C’est le cas dans le domaine de la qualité, de la sécurité , de l’environnement où de l’avis général, une expérience solide est requise. Après avoir ralenti les recrutements ou les promotions, les entreprises convaincues de l’importance de ces fonctions réinvestissent dans ces formations.
« Nous sommes très proches du tissu régional en particulier des PME explique Cyril Docquin chargé du secteur qualité-sécurité-environnement au centre d’Ecully, près de Lyon.
Le CESI dans ce secteur, s’adresse à deux types de publics. L’Ecole d’Ingénieurs CESI propose des formations menant au titre d’ingénieur qui permet de préparer un Mastère Spécialisé de la Conférence des Grandes Ecoles Management de la Qualité, de la Sécurité, de l’Environnement (MQSE) ouvert aussi ( avec une sélection serrée) aux titulaires d’un diplôme Bac plus 5.
La formation dure un an si elle est effectuée à l’école avec un stage en entreprise, ou deux ans, les participants venant à l’EI CESI entre deux à cinq jours par mois. L’EI CESI propose aussi un Mastère Spécialisée Management de la Production Industrielle (option qualité) et un Mastère spécialisé Management de la Sécurité et des Risques Industriels.
Le CESI s’adresse aussi aux titulaires d’un baccalauréat, qui peuvent être amenés à un diplôme Bac plus 2, puis à un Mastère Spécialisé
« Les entreprises optent pour telle ou telle option, en fonction de leurs priorités, en faveur de la sécurité, pour les activités à risques, en fonction de la qualité, pour les industries produisant des biens par exemple de consommation, comme l’automobile », explique Cyril Docquin.