La domicilation commerciale depuis le 1er janvier 2011
A l’heure du télétravail, de l’externalisation, de l’essaimage des compétences, avant de s’établir sur un territoire, une entreprise opte souvent pour une solution souple : la domiciliation commerciale.
Dans le cadre de sa croissance, l’ouverture d’un second établissement ou d’un nouveau point de vente loin de ses bases est, pour une entreprise, une question qui appelle réflexion. Particulièrement s’il faut le financer. La domiciliation commerciale est l’alternative souple qui n’impose plus le risque financier.
Prendre pied sur un territoire
Le concept de domiciliation commerciale repose sur la notion de « prendre pied » sur un territoire grâce une adresse physique. La proximité rassure le client, le fournisseur et le partenaire avec lesquel le dirigeant collabore. En plus de l’adressse, ponctuellement, la domiciliation commerciale permet à une entreprise de bénéficier d’un bureau pour un rendez-vous, de basculer des appels vers un standard, recevoir son courrier papier.
En cas d’échec, l’entreprise se retire. Dans le cas contraire, la solution évolue avec le besoin. Si la présence se pérénise et qu’un collaborateur doit prendre place dans le centre d’affaires, il bénéficie de services partagés tels que fax, secrétariat, photocopieur, tri et expédition du courrier, etc.
Du nouveau pour 2011
Bien sur, tous les centres d’affaires ne se valent pas. L’emplacement et la qualité des locaux, l’entretien, les services partagés et particulièrement les personnels seront des éléments déterminants.
Il est important de savoir que depuis le 1er janvier 2011, un agrément préfectoral est obligatoire pour exercer l’activité de domiciliataire. Les centres d’affaires adhérents du Synaphe et membres d’Ascara (Association des Centres d’Affaires de Rhône-Alpes) sont tous titulaires de cet agrément et garantissent une adresse de qualité.