Vourles, puis maintenant Communay (Rhône) : Em2c développe des villages d’entreprises pour artisans dans les petites communes
Le Groupe lyonnais em2c spécialisé dans l’immobilier d’entreprise avait déjà testé le concept à Vourles, dans le Rhône.
Ledit concept a été manifestement bien accueilli puisque Em2c vient de récidiver en construisant un nouveau parc Artipolis à Communay, dans le Rhône, également.
De quoi s’agit-il ? Artipolis est un produit spécifique et plutôt original pour de l’immobilier d’entreprise.
En fait, Artipolis est un village d’entreprises conçu spécialement pour les artisans et les petites entreprises confrontés à un véritable problème de locaux (surfaces trop grandes… ou trop petites, loyers ou prestations souvent démesurées par rapport à leurs métiers).
L’objectif du concept Artipolis est de s’adapter aux besoins de tous les professionnels.
Sans artifice, ni prestation superflue, la conception modulaire d’Artipolis va à l’essentiel et veut proposer des surfaces et un équipement répondant au mieux au besoin et “au prix le plus juste”, dixit le promoteur.
La possibilité de diviser ou regrouper différents lots permet de trouver la typologie de surface la mieux adaptée à chaque entreprise que ce soit pour du stockage, de la petite fabrication ou pour l’accueil de clients et de fournisseurs.
Ainsi, l’aménagement des cellules est opéré en collaboration avec les futurs acquéreurs, pour que les locaux finalisés apportent une réponse précise et clé-en-main.
Les collectivités apprécient car elles bénéficient d’un site économique clef en mains en quelque sorte, retenant ou attirant en un lieu unique les artisans et les petites entreprises de leur commune ou des communes environnantes…
A Communay, le concept Artipolis est composé de deux bâtiments à destination des artisans et TPE/PME, représentant un total de 6 300 mètres carrés.
A Vourles, vu le succès du premier village d’entreprises, construit en 2016, le promoteur lyonnais en a construit un second en 2020.
Gageons que d’autres élus de petites communes désireuses d’attirer des petites entreprises vont frapper à la porte du promoteur.