WinOrWin & H7 : LEcosystème #5 🎦

François Timour : Alors, merci tout d’abord pour cette invitation. WinOrWin, c’est un groupement de réseaux d’entrepreneurs, donc c’est un club de rencontre d’entrepreneurs, je précise, que j’ai fondé en septembre 2019. Aujourd’hui, nous avons pas loin de 120 clubs. Le principe, ce sont des clubs de rencontre où on va fédérer, apporter du business, mais pas que, parce que chez nous, on est un peu à l’encontre des clubs de business traditionnels. On ne rentre pas par le chiffre, mais plutôt sur les interactions, s’intéresser aux uns et aux autres.

Présentateur : À vos côtés, donc, Julien Marbouti, directeur de H7. On connaît un peu à Lyon, mais allez, quand même, pouvez-vous nous repréciser quelques mots sur ce que vous êtes ?

Julien Marbouti : Ben, merci beaucoup pour l’invitation. Donc, H7, on est le lieu totem du numérique de la métropole de Lyon et on est aussi un accélérateur responsable de start-up. On a lancé H7 en avril 2019 et aujourd’hui, c’est plus de 250 start-ups accompagnées dans notre lieu mais aussi à une communauté de plus de 1000 membres. C’est un accélérateur de start-up qui agit vraiment sur le principe de la communauté. On peut en reparler, mais voilà, six start-ups encore présentes aujourd’hui.

Damien : On va parler justement avec vous, Damien, qui êtes en face de nous. Donc fondateur de Super Connecteur, également fondateur du Community Leaders Club. C’est à vous, Damien.

Damien : Comme d’habitude, merci. Bienvenue dans l’écosystème. Alors je vais commencer par Julien de H7. Merci d’avoir accepté notre invitation. C’est une très belle communauté, c’est un lieu effectivement. Est-ce que tu peux nous raconter un petit peu l’histoire de ce lieu déjà ?

Julien Marbouti : C’est un bâtiment qui a une histoire depuis de longues dates, qui a été réhabilité. Est-ce que tu peux aussi nous expliquer comment est né H7, le bâtiment, et puis je crois que le bâtiment et la communauté, fait très prochainement, ça fait 5 ans. Est-ce que tu peux nous faire une petite rétrospective sur ces 5 premières années ?

Julien Marbouti : Avec grand plaisir. Donc l’histoire commence avec un appel d’offres formulé par la métropole de Lyon sur ce bâtiment qui s’appelle la Algira R, qui est une ancienne chaudronnerie industrielle de 1857, qui a été réhabilitée justement pour créer un lieu qui permet de fédérer la communauté, en tout cas une communauté de start-uppers qui sont dans les phases de croissance. On a répondu à cet appel d’offres en avril 2019, on a eu la chance d’ouvrir d’abord avec 40 start-ups. C’est important pour nous de commencer par une communauté de petite taille pour comprendre les besoins. Moi, j’ai été vraiment recruté pour monter les programmes d’accompagnement qui sont finalement en phase avec ces besoins. Quelques mois après, on a intégré à nouveau 30 autres start-ups, ce qui porte notre nombre à environ 70 structures qu’on suit à peu près à l’année.

Nous leur proposons un lieu d’hébergement avec des places en open space et des places en bureaux fermés, et en fonction de leur croissance, elles vont prendre plus ou moins d’espace. Les programmes d’accompagnement sont vraiment pensés sur mesure. Il va y avoir un point d’étape où on va lister les besoins et après y répondre avec des conférences, des ateliers, des événements. Cette notion de communauté est extrêmement forte. On va agréger des expertises qui permettent de répondre justement aux enjeux des entrepreneurs. On peut parler de marketing, de communication, de finances. En bref, tous les grands métiers sur lesquels on essaie que la communauté soit la plus fournie possible et réactive.

Présentateur : H7, c’est aussi un lieu, près de qui a qui qui est une ancienne chaudronnerie donc un lieu très atypique, magnifique, hein? Je vous invite à visiter le lieu, c’est assez incontournable à Lyon. Et donc aujourd’hui, cette communauté, comment est-ce que vous l’animez? Quelle est la typologie de ses membres aujourd’hui?

Julien Marbouti : Alors, au cœur de la communauté, on va retrouver les start-ups et j’aime bien expliquer que les start-ups, c’est à la fois les équipes dirigeantes, les cofondateurs mais aussi les talents. Comme vous le disiez, on a la chance d’avoir ces 5000 m² d’espace qui permettent d’accueillir l’ensemble de l’équipe, et l’équipe qui va grandir au fur et à mesure du temps. Une start-up chez H7, elle arrive, elle fait déjà du chiffre d’affaires, elle a déjà une première équipe constituée et grâce au modèle d’accompagnement et à l’ensemble de la communauté, elle va grandir et au bout de 18-24 mois, on espère qu’elle aura atteint une taille qui lui permettra de prendre des locaux en propre et on va les accompagner à ce moment-là. Sur les programmes d’accompagnement, on a un tronc commun, qui est généraliste, et puis après, on a essayé de monter des verticales thématiques avec nos partenaires. Donc on traite d’alimentation durable avec Suz, on traite d’inclusion numérique avec la Banque des Territoires, on traite de décentralisation et de vie privée avec Aexec et on est aussi opérateur d’un programme dont on est très fier, qui est le programme FrenchTech Tremplin. Donc on va agréger aussi des nouvelles typologies de d’accompagnement de programme pour répondre aux besoins et être de plus en plus spécifique.

Présentateur : Et pour être dans l’actualité, d’ailleurs, je crois qu’il y a un nouveau programme d’accompagnement, Shortcut, exactement. Est-ce que tu peux nous en dire un petit peu plus?

Julien Marbouti : On avait remarqué qu’on recevait beaucoup de dossiers. Donc, pour être précis, on reçoit 20 dossiers par mois sur le site internet et sur ces 20 dossiers, soit on avait pas la place, donc c’était un premier point, soit en fait les entreprises étaient finalement trop jeunes. Donc on se disait que c’était quand même dommage de ne pas leur proposer au moins un sas de 3 mois, extrêmement intensif, pour leur permettre de valider qu’il y a un vrai besoin sur le problème qu’ils ont identifié, de développer une bonne solution, déjà faire du chiffre d’affaires et après être dans la cible idéale de H7 pour intégrer sereinement au bout de 3 mois de notre communauté.

Julien Marbouti : Exactement. Le lien le plus fort qu’on a, c’est avec la métropole de Lyon parce que, même si on est une entreprise 100 % privée, le bâtiment appartient à la métropole et on a 12 années où on va pouvoir l’exploiter, donc ça fait déjà 5 ans et on en est très content. Pour équilibrer le modèle et finalement pour apporter de l’expert inise, on a fédéré des grandes entreprises à l’image de Crédit Mutuel et de Suz qui sont les deux partenaires fondateurs de H7, mais aussi la Banque des Territoires ou Ex qui sont des grands partenaires.

Ensuite, au sein de cette communauté, on est allé chercher des partenariats plutôt experts, des gens qui ont une expertise extrêmement forte en marketing, communication avec l’agence TB W, par exemple. Ces personnalités, ces entreprises, elles apportent de l’expertise, du temps, et aussi un peu de financement, ce qui est toujours très utile. Donc c’est aussi tout un tas d’acteurs qu’on va vouloir agréger autour, et ça peut être des fonds d’investissement, ça peut être aussi des écoles, parce que la question des talents est essentielle pour les startups, et on l’a fait grandir progressivement la communauté en s’assurant toujours que les entreprises sont prêtes d’abord à donner avant de recevoir, c’est une des valeurs fondamentales et une des missions qu’on porte au sein de notre communauté.

Présentateur : Et il y a un événement phare qui va fêter sa 3e édition dans quelques semaines, Zer to One. Est-ce que tu peux nous en parler, nous en dire plus, qui en plus commence à faire des petits aussi au niveau du national, donc Lyon se déploie un peu partout en France. Est-ce que tu peux nous raconter quelle est sa genèse et puis bien sûr nous présenter la nouvelle édition qui va avoir lieu très prochainement?

Julien Marbouti : L’histoire de Zer to One commence en 2022 et on était à une phase de H7 où on avait fini un premier cycle de 3 ans et on avait envie vraiment de gagner en visibilité parce qu’on faisait beaucoup de contenu, de conférences, d’ateliers, de permanences, mais qui bénéficiaient finalement qu’à notre communauté, celle qui est présente intramuros. Donc, on s’est dit que c’était quand même un super outil de créer, dans notre lieu, un événement de grande envergure.

Donc, on parle de 1200 personnes par édition qui viennent assister à une trentaine de conférences. Cette année, on aura plus de 31 conférences le 13 juin prochain, où on va retrouver là encore des dirigeants mais aussi des responsables opérationnels qui racontent leur passage de 0 à 1. Finalement, passer de 0 à 1 pour nous, c’est un état d’esprit, c’est un état d’esprit de créativité, c’est une forme de résilience. Ça correspondait bien à l’histoire de l’équipe H7 qui aujourd’hui est passée de 5 collaborateurs à 12 collaborateurs mais aussi à des phases de croissance par lesquelles sont passées les entreprises qu’on accompagne: première levée de fonds, premier recrutement, premier pays, premier échec et parfois premier rebond.

Donc, on va retrouver des gens, par exemple, je prends, on aura une table ronde sur l’intelligence artificielle où on a justement des gens qui ont monté des applications B2C à l’image de Faux Photo Room, mais aussi des applications B2B à l’image de Dust autour de l’intelligence artificielle, et qui racontent comment le marketing permet l’adoption de cette nouvelle technologie. Donc voilà, il y aura plein de contenu. On le pense vraiment comme un festival dans notre lieu et on est ravi que vous puissiez y participer avec plaisir.

Présentateur : Merci, Julien. Je me tourne vers toi, François. Bienvenue dans l’écosystème. Alors, WinOrWin, sacré succès en quelques années. Tu le disais tout à l’heure, un peu plus de 120 clubs. Est-ce que tu peux nous expliquer un petit peu sa genèse et comment est-ce que tu pilotes un développement comme celui-là de près de 120 clubs en seulement quelques années au niveau national?

François Timour : Oui, alors effectivement, c’est un succès qui nous dépasse. On est ravi de ce succès mais on y travaille aussi tous les jours parce que de nouveaux clubs se créent tous les jours et on est dans une concurrence assez incroyable. Pour la petite histoire, moi j’ai plus de 25 ans d’expérience dans le médico-dentaire et j’ai fait ma reconversion en 2016. À cette époque, j’avais une appétence pour le côté artistique et je me suis aussi intéressé aux méandres de Google et quand j’ai passé une expertise en SEO, il fallait trouver des clients, des membres. Et je pense que c’est la grande bataille aujourd’hui pour beaucoup de personnes, de trouver des contacts. C’est à ce moment-là où tout a commencé.

Par magie, j’ai très vite compris qu’il fallait être premier sur Google, mais c’est très complexe, ou alors il fallait être une star des réseaux sociaux. Mais je le répète à chaque fois, je ne savais même pas ce qu’était un follower. La troisième voie, c’est la force du bouche à oreille, de la recommandation. J’ai entendu parler de plein de clubs, plein de réseaux. Je suis allé vers le leader mondial, dont je ne citerai pas le nom, mais voilà. J’ai trouvé ça extraordinaire parce que, en très peu de temps, je me suis rendu compte qu’on était tous les commerciaux des uns et des autres autour d’une table. Et c’est vrai que cette force de recommandation nous donne une puissance de frappe, on arrive à faire des contacts, on se sent un peu plus fort, on se sent entouré.

Au fil du temps, ce qui me gênait un petit peu, sans critiquer quelque club que ce soit, c’est de toujours se présenter avec toujours ce côté business, toujours ce côté fric, faut appeler les choses par leur nom. Et je trouvais que finalement, on créait des clans, on créait une forme de séparation entre les paniers moyen haut, les paniers moyen bas, ce qui peut mettre de l’ego pour certains et puis aussi peut-être un peu de frustration pour d’autres.

Donc, au bout d’un moment, je me suis dit, pourquoi pas créer mon propre réseau? En septembre 2019, j’ai contacté une trentaine de personnes, j’ai fait attention d’inviter une personne avec un métier pour qu’il n’y ait pas de concurrence et voilà. Tout se passe bien, tout le monde s’inscrit, je suis un petit peu dépassé par le succès de cette première matinale. Il y a 28 inscrits sur 30 personnes et je n’avais pas fait attention mais la personne qui nous recevait avait aussi un agent immobilier, donc de cette erreur et je pense qu’il n’y a pas de hasard, on a créé un 2ème club sur Lyon. Puis la COVID est arrivée, ce qui nous a aussi permis de prendre du temps, je pense que c’était un bon timing pour tout ça. On a pris du temps pour étudier un peu ce qui se faisait, on a mis une charte en place, on a regardé tous les réseaux et on a essayé de tirer les meilleurs outils de parts et d’autres.

Et puis, après, quand on est revenu, on avait besoin de fédérer suite à cette COVID et là, ça a été assez rapide. On a eu une grosse société immobilière qui a compris l’intérêt de mettre aussi certains de ces agents comme présidents de nos clubs. Donc un club, pour vous expliquer, est constitué de, en moyenne, sur les 120 clubs, on a une moyenne nationale de 17 personnes. Donc on a des clubs qui démarrent à 5-6, on a des clubs qui dépassent les 40, mais on va dire que la bonne moyenne c’est à peu près 17-20 personnes autour d’une table, avec chacun l’exclusivité de son métier, ce qui nous permet de fédérer, de nous apporter du lien, du réseau. Et donc cette personne qui était président d’un gros groupe immobilier a placé quelques personnes et la chance, encore une fois, je pense que la chance faut savoir la prendre au bon moment, on a eu le groupe AXA qui s’est aussi intéressé à nous.

Et du coup, aujourd’hui, on a à peu près 60 agents AXA en France, ce qui a permis de développer, depuis maintenant 3 ans, une demande d’ouverture de club par semaine, mais on calme puisque on essaie aussi d’étendre tous nos outils. D’ailleurs, merci Super Connect de pouvoir nous apporter aussi un outil digital dessus. Donc aujourd’hui, voilà, on arrive à 120 clubs, qui a été signé encore tout à l’heure avec un groupe sur Paris puisqu’on est, on a des clubs un peu partout en France.

Alors, bien évidemment, moi, j’ai la fierté d’être Lyonnais et d’avoir, tout ça est parti de Lyon, on a énormément de clubs sur Lyon et donc voilà, on développe sur le national. Donc aujourd’hui, c’est une communauté de winners, c’est son nom, les membres justement de la communauté WinOrWin au niveau national qui sont aussi les nombreux partenaires et quelle est la typologie des Winners au sein de la communauté?

Je parlais effectivement des agents AXA mais quels sont les autres typologies de membres qu’on va y retrouver? Alors, ce sont des toutes petites entreprises, ce qui est intéressant, c’est qu’on a des gens du bâtiment, on a des artisans, on a un expert-comptable, une typologie d’avocat, notaire, commissaire de justice, enfin on a vraiment toutes ces personnes qui, finalement, autour de nous, pourraient nous entourer au quotidien sur différents soucis de la vie de l’entrepreneuriat.

Rentrer dans un club de rencontre d’entrepreneur, c’est comme ça que j’aime bien parler de WinOrWin, c’est de se sentir entouré, c’est bien évidemment à un moment ou un autre de faire du business mais c’est aussi sortir de la solitude de l’entrepreneuriat parce que cette solitude elle est quand même très pesante. Il y a un moment où même si tout va bien pour nous, on peut se sentir seul au bout de 12h, 14h de travail. Est-ce qu’on travaille beaucoup plus quand on est entrepreneur? C’est aussi intellectuellement d’échanger à travers les métiers de chacun, d’apprendre, c’est tellement enrichissant. Et tout ça, je crois, avec un fort focus sur la convivialité.

Bien évidemment, c’est-à-dire que j’ai été un peu à contre-courant quand j’ai lancé WinOrWin, c’est de ne pas parler de chiffres. Alors ça peut paraître peu commun dans un club de business mais nous, on va quantifier les interactions, on a des règles, on a pas mal d’outils pour quantifier tout ça mais ce n’est pas « Bonjour, je m’appelle François, j’ai fait 25,000 cette semaine. » Non, c’est « J’ai rencontré telle et telle personne et les choses se mettent en place. »

Moi, ce que j’avais envie, c’est qu’on s’intéresse à moi, je m’intéresse aux gens parce que la force de l’humain, on peut même mettre de l’amour dans le business. Il faut, je pense, revisiter un peu le côté business et c’est comme ça que on essaie de développer et cette valeur ajoutée a convaincu de très beaux partenaires.

Présentateur : Est-ce que tu peux nous dire deux mots sur ces quelques partenaires?

François Timour : Bien évidemment, donc on a des gros groupes immobiliers mais on a aussi AXA France aujourd’hui, qui chapeaute à peu près 5000 commerciaux en France. Donc il est vrai que tous les lundis matins on a, on fait partie aussi de leurs différentes réunions partout sur le National, on parle de nous puisque on s’est quand même rendu compte que un entrepreneur sur quatre souhaite rentrer dans un club de rencontre d’entrepreneur, de business et surtout à l’heure actuelle où le business est tellement compliqué, les choses sont tellement difficiles, il faut quand même le reconnaître. Donc dans certains métiers comme les courtiers en prêt ou AXA, on arrive à un indice de pratiquement 90 % de demandes pour rentrer dans des clubs.

Ok, donc ils ont trouvé leur intérêt. On a bientôt aussi April qui souhaite aussi nous rejoindre, et puis on a d’autres groupes dont on signe des accords. Donc on a encore, même si on a 120 clubs, ça peut paraître beaucoup, mais ça ne représente finalement que 5 % des capacités.

Actuellement, il y a différents événements, il y a un nouveau lieu aussi qui a été ouvert très récemment. Est-ce que tu peux nous en parler pour conclure en quelques mots?

François Timour : Oui, tout à fait. C’est que, en fait, donc WinOrWinc, ce ne sont pas que des réunions, c’est aussi de la convivialité. Donc beaucoup d’afterwork chaque année, on a notre trophée pétanque, donc voilà, ça c’est important surtout qu’on arrive en été, normalement il fera beau. Donc, on a cet événement toutes les années au capot, on a aussi une soirée blanche donc au puce du canal parce que c’est quand même un lieu emblématique.

Là, c’est un événement que j’offre à tous les membres. Cette année, j’espère qu’on aura à peu près 300 personnes, donc le 30 mai, pétanque; le 4 juillet, soirée blanche; et puis notre incontournable gala de chaque année chez Bocuse. Là, c’est pareil, comme partenaire qui nous suivent, on a un Moussin, on a le comité Miss France, c’est vraiment un très bel événement.

Et puis très dernièrement, on a acheté aussi des bureaux pour recevoir qui s’appelle la Winhome pour recevoir nos Winners pour pouvoir faire des réunions, pour pouvoir faire des afterwork. Voilà, le principe c’est d’apporter un maximum de convivialité tout ça faut quand même en parler pour un prix relativement très bas, hm hm, quand même que à 49 € de TTC par mois, très accessible, donc très accessible ce qui nous permet quand même d’avoir plus de 149 corps de métier qui puisse nous rejoindre.

Faut pas croire que ces clubs ne sont que des clubs élitistes, bien au contraire.

Présentateur : Merci François, merci beaucoup. Merci à vous, Damien. Il est sans transition, comme on dit dans notre jargon, transition c’est l’heure de l’agenda global.

Tout à fait, l’agenda de l’écosystème, vous écoutez alors que se passe-t-il au mois de juin?

Beaucoup de choses, tout d’abord mardi 4 juin, on a une soirée intelligence artificielle de la théorie à la pratique organisée par la CPME du Rhône, donc les experts en du numérique en entreprise à Charbonnière-les-Bains au campus région du numérique. La soirée ABC le 4 juin, très belle soirée organisée par Anne Prost organisation à Lyon au H club, sur le quartier de la Confluence. Nous avons jeudi 6 juin, le pôle jeune de la CPME, venez réseauter ou sous le soleil à Fontaine sur Saône au Gône de Sa. Le jeudi 6 juin, l’Assemblée Générale de Digital League, flashback to the future n’est-ce pas, par Digital League à Charbonnier-les-Bains au campus région du numérique encore.

Jeudi 13 juin, le FDtour par France digitale qui sera accueilli à H7 à Lyon quartier de la Confluence. Jeudi 13 juin, on a sur le temps du midi une conférence sur le Graal de Lia quel créé de valeurs concrètes pour les RH et la tech qui aura lieu enfin organisé par Leem Lyon Business School et qui aura lieu à Ecully, plus précisément au Skylab de l’École Centrale Lyon. Et enfin, on a le mardi 18 juin, la prochaine soirée de l’Atelier des Builders, focus sur justement l’engagement et l’animation de communauté Alumni organisé par le Community Leaders Club qui aura lieu à Lyon.

Bien, merci Damien et ces dates bien sûr vous pouvez les retrouver sur notre site internet dans l’onglet de l’émission. C’est le moment pour moi de vous remercier tous. Damien, évidemment, et à la semaine prochaine pour un nouvel écosystème.

Merci à vous, Julien, merci à vous, François, d’être venu jusqu’à nos studios. Merci à vous de nous avoir suivis. Merci à Lucas, qui, sans lui, rien n’est toujours possible donc un grand merci à lui. Vous pouvez retrouver l’émission sur nos réseaux sociaux, bien sûr notre chaîne YouTube et notre site Internet. D’ici là, très belle fin de journée à l’écoute de l’entreprise et à bientôt.