Alain Scappaticci nommé directeur de la marque Sup’deCom

Alain Scappiticci, 52 ans, vient de prendre la direction de la marque Sup’deCom, école de communication implantée sur 10 campus en France et à l’international. Cette nomination accompagne la nouvelle organisation du Réseau Compétences et Développement qui regroupe 13 écoles et centres de formation, dont Alain Scappaticci pilote l’un des 5 nouveaux pôles : le pôle communication et création, constitué des Sup’de Com et ESAIL.

Créée à Lyon en 1985, Sup’de Com propose des formations en communication globale, de post-bac à bac +5. Son ambition : « former les stratèges de la communication de demain, en proposant un passage progressif vers l’entreprise, alliant enseignement et professionnalisation. »

Diplômé de l’IAE de Lyon en Management et Direction commerciale, Alain Scappaticci débute sa carrière dans le domaine de l’audit d’entreprise.

Dès 1993, il oriente son parcours vers la formation : d’abord à l’Institut Alexis Carrel puis sur le campus lyonnais d’IDRAC Business School, de 2003 à 2014, en tant que Responsable pédagogique, Directeur Business Program et enfin Directeur de la promotion de l’école et de l’alternance.

Il intègre en 2014 la direction de 3A, l’école supérieure de commerce et développement, avant de rejoindre Sup’deCom en janvier 2020.

L’arrivée d’Alain Scappaticci à la tête de la marque Sup’deCom  concorde avec la nouvelle organisation du Réseau Compétences et Développement en 5 pôles : business développement et relations internationales, numérique, management et entreprenariat, communication et création, ouverture sur le monde de demain.

Il pilote le pôle communication et création, qui regroupe l’école de communication Sup’deCom et l’école supérieure d’architecture intérieure de Lyon  ESAIL. Une des principales missions que s’est fixée Alain Scappaticci « sera d’asseoir le développement de ces deux marques au niveau régional, national et international. »
 
« Mon ambition est de créer des synergies au sein de ces écoles et au sein du Réseau. La réorganisation est aussi l’occasion pour les deux écoles d’être mieux représentées en région », explique-t-il.