Catherine Bocquet prend la tête du cluster Numélink
Catherine Bocquet, dirigeante de la société SFI devient l’une des rares femmes présidentes d’un cluster numérique en France. Elle a été élue à la tête du cluster Numélink, basé à Saint-Etienne, le 12 juin. Elle succède à Damien Charitat qui présidait Numélink depuis trois ans.
Né en 2002, le cluster Numélink dont le siège est basé à Saint-Etienne dans la Loire a pour but de contribuer à structurer la filière des TIC, de la valoriser et de lui donner une lisibilité. Il regroupe près de cent-cinquante entreprises et organismes numériques.
Elle vise aussi à favoriser l’innovation par l’élaboration de projets communs et par la mutualisation des moyens.
Selon ses statuts, ce clsuter a pour objectif d’anticiper les évolutions à venir et de proposer, toutes solutions permettant d’augmenter le niveau d’activité et d’efficacité des entreprises de la filière.
Dirigé depuis trois ans par Damien Charitat (société Logic), ce cluster vient de porter une dirigeante d’entreprise à sa tête : Catherine Bocquet, pédégère de la société qu’elle a elle-même créée : SFI Multimédia et dont elle est actionnaire majoritaire.
Engagée au sein de ce cluter cluster depuis sa création , Catherine Bocquet a toujours été très investie dans sa gouvernance puisqu’elle siègeait au bureau depuis onze ans.
Elle avait auparavant travaillé au sein de la société Phebos, un cabinet d’études à Saint-Etienne ; puis auparavant au sein de la société Orli, une SSII roannaise, spécialisée dans le secteur textile.
Ayant effectué ses études au sein de l’Insa à Vielleurbanne, Catherine Bocquet en est sortie avec un diplôme d’ingénieur spécialité Informatique.